Relais de la Flamme Paralympique de Paris 2024 : avec Banque Populaire, tous prêts à raviver la Flamme de la réussite

Une autre lumière va jaillir et illuminer le territoire français. Après la Flamme Olympique, c’est la Flamme Paralympique de Paris 2024 qui s’apprête à briller. Son parcours débutera le 25 août prochain à Stoke Mandeville, là où ont eu lieu les premiers Jeux Paralympiques de l’histoire, en 1984. La Flamme traversera ensuite la Manche par le tunnel pour arriver sur le territoire hexagonal où elle brillera simultanément dans 12 villes françaises, en référence aux 12 jours de compétition des Jeux Paralympiques de Paris 2024. Chaque Flamme aura ainsi son propre chemin avec une deuxième étape en France puis une nouvelle en Île-de-France. À l’issue de ces 4 journées, après avoir traversé 50 villes et l’intégralité des régions métropolitaines, sonnera l’heure de la cérémonie d’ouverture, le 28 août, qui débutera sur les Champs-Élysées pour se terminer sur la place de la Concorde. Tout comme sur le Relais de la Flamme Olympique de Paris 2024, un esprit de fête sera perceptible au fil de ce parcours avec un « Festival de la Flamme » organisé dans chaque ville. Il rassemblera des animations musicales, des activités sportives et des initiations aux parasports grâce à l’implication de chaque instant des Banques Populaires régionales.

Banque Populaire et les porteurs inspirants de la Flamme Paralympique de Paris 2024

Au fil de ces quatre jours de fête qui contribueront à transcender les différences et à porter des messages essentiels en matière d’inclusion, Banque Populaire sera un des protagonistes majeurs au cœur des territoires. En plus des initiatives menées à chaque étape, les banques en région ont toutes choisi des porteuses et des porteurs de la Flamme Paralympique dont l’engagement, le combat au quotidien et la détermination est entière.

Banque Populaire est également mobilisé depuis plusieurs années auprès des athlètes paralympiques Elle en a accompagné 34 dans leur rêve de participation aux Jeux de Paris 2024. Parmi eux, 24 ont réussi à obtenir leur qualification et défendront les couleurs de la France à partir du 28 août.

Ils feront partie de ceux qui porteront la Flamme Paralympique avec Banque Populaire :

Erika et Fabrice Sauzeau (Somme)
Banque Populaire du Nord
 

Erika Sauzeau, porteuse DANS LE TUNNEL SOUS LA MANCHE le 25 août (athlète soutenue par la Banque Populaire du Nord)
Fabrice Sauzeau, porteur à Amiens le 26 août
Le destin de Fabrice est intimement lié à celui d’Erika sa compagne. Ils ont le même nom et elle a un sacré palmarès sportif. Athlète paralympique, soutenue par la Banque Populaire du Nord, Erika commence le handisport avec le basket fauteuil, puis passe au tennis fauteuil pour ensuite tester le para-aviron, discipline dans laquelle elle est médaillée d'argent à Tokyo avec son équipe du 4 barré mixte. 
Suite à deux accidents et plusieurs opérations du genou gauche, Erika est atteinte de chondropathie, une dégénérescence du cartilage. Pourtant elle s’accroche, et grâce à sa motivation elle intègre l’Armée de Champions après avoir été licenciée de son poste précédent pour inaptitude.
Fabrice est son pilier, son premier supporter dans les bons comme les mauvais moments. Il s’occupe de leurs deux enfants et lui apporte un soutien sans faille, notamment quand il apprend qu’elle n’est pas retenue titulaire mais remplaçante aux Jeux Paralympiques de Paris 2024. Elle retrouve le sourire grâce à la vie de famille, à ses débuts dans le triathlon et au soutien de Fabrice. « L’épauler, être là et lui permettre de réussir, c’est presque devenu une mission », confie l’ancien militaire. Porter la Flamme, c’est l’occasion de « représenter un peu tous ceux qui sont dans l’ombre pour soutenir et aider nos athlètes ».
Ancienne pompier volontaire, sauveteuse en mer, impliquée dans la réinsertion des jeunes, Erika est résolument tournée vers les autres. Portée par une détermination infaillible, un soupçon de rage et un sens inné du collectif, elle fait également de la sensibilisation des jeunes à la vie avec un handicap un engagement. 

Élodie Liabeuf (Haute-Savoie)
Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes, porteuse à Thonon-les-Bains le 25 août
Collaboratrice au sein de Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes, Élodie assure que le sport est « une partie intégrante » de sa vie. Elle a ainsi beaucoup pratiqué pendant son enfance – judo, gymnastique, vélo, badminton, football, basket, escalade – puis beaucoup de tennis jusqu’à ses 18 ans. Désormais, Élodie s’épanouit en trail, elle qui apprécie « être poussée dans ses retranchements ». Jeune maman, elle regrette de « ne pas avoir persévéré pour devenir une de ces athlètes que l’on voit à la télévision ». Il n’empêche, Élodie savoure déjà à l’idée de porter la Flamme Paralympique. « Quand on me l’a annoncé, j’étais la plus heureuse ! ». La jeune femme apprécie le fait « d’incarner cette lutte contre les discriminations et toutes les exclusions », elle qui sait que ce sont des engagements particulièrement importants chez Banque Populaire.
 
Orianne Lopez (Hérault)
Banque Populaire du Sud, porteuse à Montpellier le 25 août
Elle a connu la magie des Jeux Paralympiques à Londres en 2012. Née avec une malformation au niveau du fémur, Orianne s’était spécialisée en sprint et en saut en longueur. Surtout, elle a vu l’engouement autour du sport paralympique qui n’a fait que croître. Depuis, elle n’a de cesse de promouvoir la pratique parasportive dans toutes ses formes : en famille, à l’école, en club, en loisir ou en compétition. Spécialiste en médecine physique et de réadaptation (MPR) au CHU de Montpellier, Orianne assure qu’il faut prendre conscience qu'"une pratique parasportive peut s'inscrire dans le quotidien et le projet de vie de quasiment toutes les personnes en situation de handicap". En parallèle, elle est médecin coordinateur du comité paralympique et sportif français. Et Orianne savoure ce « grand bonheur et cet honneur » de porter la Flamme Paralympique dans sa ville de naissance aux côtés de ses proches.

Pablo Neuman (Haute-Garonne)
Banque Populaire Occitane, porteur à Lourdes le 25 août
Il fait partie de ceux qui ont contribué au fort développement du rugby fauteuil. Passionné de ski, Pablo a été victime d’un accident de la vie à 21 ans. Après avoir découvert le rugby fauteuil, il s’est évertué à dynamiser le sport, notamment en créant le Stade Toulousain Handisport. Plus tard, Pablo a intégré l’équipe de France avec laquelle il a disputé deux olympiades. Il se dit fier de voir que les Bleus, double champion d’Europe, fassent partie des meilleures nations mondiales et qu’ils seront en lice aux Jeux Paralympiques. Pablo accueille d’ailleurs les internationaux au club tout l’été afin qu’ils peaufinent leur préparation et puissent bénéficier des installations qu’ils connaissent bien. Avant de commenter les épreuves de rugby fauteuil, Pablo se réjouit de porter la Flamme, un « super symbole » pour ce passionné.

Annick Orion (Vendée)
Banque Populaire Grand Ouest, porteuse à La Roche-sur-Yon le 25 août 
Il s’agit d’une maladie peu connue, la fibromyalgie, une affection chronique qui provoque des douleurs persistantes, une fatigue intense ou encore des troubles du sommeil. La fibromyalgie concerne tous les âges et pousse ceux qui en souffrent à l’isolement. Rompre cet isolement, venir en aide de ces patients, c’est la mission d’Annick, présidente de Fibromyalgie Vendée. Elle compte plus de 120 adhérents et 6 points d’accueil à travers le département. Annick se bat pour que la fibromyalgie soit davantage reconnue, elle qui avait notamment effectué quatre jours de vélo en Vendée, soutenue par la BPGO, pour sensibiliser le grand public. Porter la Flamme permet donc de prolonger cet engagement, en pleine lumière.

David Pouilhes (Alpes-Maritimes)
Banque Populaire Méditerranée, porteur à Antibes le 25 août
Pompier professionnel à Cannes, David est passionné de mer et de large. Chaque mois de juin, il convie des collèges pour une traversée de la Méditerranée à la voile. Avant l’une d’entre elles, David contacte Audrey, elle aussi sapeur-pompier en fauteuil, pour les rejoindre. Rapidement, l’idée d’embarquer d’autres personnes en situation de handicap s’est imposée. Et depuis bientôt dix ans, ils sont nombreux à avoir vécu cette grande aventure. « Quand on est sapeur-pompier, aider est une seconde nature, ça fait partie de nous », explique David, heureux de porter la Flamme Paralympique. 

Allan Bois (Côte-d'Or)
Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, porteur à Châtillon-sur-Seine le 26 août
Chez Allan, le basket est une passion de toujours. Après avoir été joueur, il a commencé à entraîner depuis bientôt six ans dans le club de Montbard, un village au cœur de la Côte d’Or. Il s’est aguerri auprès d’une équipe de jeunes (-13 ans) avant de reprendre les rênes de l’équipe senior. « Ce qui est agréable, c’est de pouvoir transmettre », explique Allan. Avec son club, il a également participé à une initiation de basket fauteuil. Elle se déroulait en partenariat avec la JDA Dijon, le grand club de la région. « C’est un sport génial qui est ouvert à tous où l’esprit d’équipe est primordial et transcende les différences ». Depuis, il est déjà allé voir d’autres matchs de basket fauteuil et assure qu’il regardera le tournoi olympique. En attendant, l’entraîneur, sélectionné par Banque Populaire, assure que porter la Flamme Paralympique est « un honneur ».  

Dominique Declaude (Aube)
Banque Populaire Alsace Lorraine Champagne, porteur à Troyes le 26 août 
Dominique est un passionné d’escrime au point d’y avoir consacré une grande partie de sa vie. Longtemps, lui qui est maître d’armes diplômé d’État (entraîneur), a exercé d’abord en milieu rural puis dans la salle d’armes de Troyes qui est particulièrement réputée dans l’Hexagone. Ses élèves ont évolué en effet au niveau national voire international. En parallèle, Dominique s’est investi au sein des instances fédérales, notamment dans la commission nationale épée féminine (chef de délégation à l’étranger, sélectionneur puis Président). Actuellement Vice-Président de l’Institut de Formation de la FFE, il est par ailleurs chargé de la communication et des vidéos techniques par la Commission Escrime de la Fédération française handisport. Sa mission : filmer les matchs Escrime-Fauteuil sur les épreuves internationales et sélectionner les images destinées à ses collègues maîtres d’armes. « J’ai beaucoup de respect et d’admiration pour les sportifs en situation de handicap », explique-t-il, ravi de porter la Flamme Paralympique, « un honneur possible grâce à la Banque Populaire ». 
 
Francis Diraison (Indre-et-Loire)
Banque Populaire Val de France, porteur à Blois le 26 août
Il a essayé, une fois, et n’a plus jamais vraiment arrêté. Francis est un passionné de rugby au point d’y consacrer son temps libre depuis des années. Joueur de ses 6 à ses 40 ans, il ne s’est jamais vraiment éloigné des terrains. Éducateur, il est ensuite devenu dirigeant, président de club, avant de prendre la tête du comité départemental du rugby d’Indre-et-Loire. Francis s’est également formé au « rugby santé » afin d’accueillir des personnes en situation de handicap ou malade. « Ce qui m’intéresse, c’est qu’ils puissent oublier leurs différences et leurs soucis le temps d’une séance ». Très attaché aux valeurs du rugby, il assure que porter la Flamme Paralympique est « un privilège et un honneur ».
 
Hervé Rodier (Vienne)
Banque Populaire Aquitaine Centre Atlantique, porteur à Limoges le 26 août
« Moi je ne fais pas de jardin, de peinture et de chasse mais j’aime le contact avec les autres ». Chez Hervé Rodier, le bénévolat est une seconde nature. Ancien judoka, il a fondé un club dans les années 1980 puis un autre baptisé « Sport ambiance et bonne humeur », un club de gymnastique et de détente pour personnes âgées. Hervé est également impliqué dans un festival de musique, Au fil du son, qui réunit toutes les générations, et participe à un comité local d’écoles entreprises (CLEE). Il s’occupe aussi d’une association qui récolte des dons pour la recherche contre le cancer lors de rassemblements de voitures de prestige (Sport et Collection). L’ensemble des dons est envoyé au CHU de Poitiers. C’est son engagement qui est salué par Banque Populaire Centre Atlantique en portant la Flamme Paralympique. 
 
Krimi Houssem (Val-de-Marne)
BRED Banque Populaire, porteur à Sucy-en-Brie le 27 août
Depuis dix ans, Krimi exerce comme médecin anesthésiste réanimateur. Membre de l’équipe soignante de l’hôpital de Montreuil (Seine-Saint-Denis), il a embrassé cette profession par passion. "J'ai toujours apprécié la figure du médecin, confie-t-il. J’aime cette idée d’aider les autres, de ne pas compter son temps et de tout faire pour résoudre des situations difficiles ». Parmi les crises les plus dures qu’il a vécu, il y a l’épidémie de Covid-19. Avec sa femme, neurochirurgien, il travaille sans relâche, « des jours et des nuits sans revenir chez nous ".  Il voit un collègue médecin devenir très malade, des infirmiers et des infirmières perdre la vie. Porter la Flamme Paralympique, c’est pour Krimi l’occasion de porter un message, « de rendre hommage à ces soignants qui se sont battus et qui nous ont quitté ». Sa femme et des proches seront présents lors de son relais.

Stéphane Denoyelle (Paris)
Banque Populaire Rive de Paris, porteur à Paris le 28 août
Éducateur sportif Diplômé d’État spécialisé en handisport et maître d’armes, Stéphane exerce son métier au Cercle Sportif de l'Institution Nationale des Invalides depuis 15 ans. En plus d’enseigner l’escrime à des enfants handicapés en Institut d’Éducation Motrice (IEM), il donne des cours de sport aux Pensionnaires des Invalides et prépare des lycéens en situation de handicap aux épreuves de sport du baccalauréat. En parallèle, ce parisien qui a longtemps travaillé, bénévolement, dans des clubs de rugby, d'escrime valides et handisport, a entrainé un escrimeur en vue des Jeux Paralympiques.
Ainsi impliqué dans le handisport depuis de nombreuses années et doté d’un goût prononcé pour la transmission, Stéphane a toute sa place en tant que Porteur de Flamme sur ce Relais Paralympique : « Être porteur est pour moi un honneur et une obligation d'exemplarité auprès des sportifs que j’accompagne. »